DOSSIER - Quelles croquettes sans céréales acheter pour mon chien ?

On en parle bien souvent, dans les médias traditionnels et en ligne : les croquettes sans céréales, et leurs bienfaits potentiels sur la santé de nos chiens.

En tant que propriétaire soucieux du bien-être de votre compagnon, vous êtes dans la démarche de lui acheter le meilleur. Et c’est tout à votre honneur ! Mais avez-vous bien comparé les bénéfices des différentes croquettes sans céréales et également des autres types de croquettes ?

Cet article, basé sur notre expérience dans l’alimentation animale et sur de nombreuses études, tente de faire la lumière sur ce que contient une bonne croquette, avec ou sans céréales, et les bénéfices de chacune des alternatives.

Focus sur les croquettes sans céréales, et ce dont votre chien a réellement besoin pour se maintenir en bonne santé.

Croquettes sans céréales & glucides : une vérité souvent ignorée

Glucides et croquettes sans céréales continuent de faire couler de l’encre, dans les médias et sur Internet. Retournons quelques instants sur la réalité de cette polémique, pour bien comprendre le sujet.

Pourquoi les croquettes sans céréales sont-elles nées ?

Les croquettes sans céréales sont apparues sur le marché suite à des polémiques sur la santé de nos animaux.

Les personnes achetant des croquettes à leurs chiens ont commencé, il y a des années de cela, à penser que les céréales étaient devenues toxiques pour leurs compagnons. Plusieurs marques de croquettes sans céréales se sont alors présentées comme des solutions contre un élément potentiellement nocif à nos animaux : le taux trop élevé de glucides.

A fortes doses, les glucides engendrent bel et bien des soucis de santé sur le chien : diabète, obésité, cancer… Seulement, depuis tout ce temps, les études à ce sujet ne pointent uniquement du doigt que la quantité de céréales (et donc de glucides) contenue dans les croquettes, et non leur simple présence dans la gamelle de nos chiens. C’est là une nuance énorme.

Dans les faits, les céréales ne sont donc nullement toxiques ; seule leur quantité doit être limitée, ce qui semblera logique pour tout le monde. Mais au-delà de cette non-toxicité, certaines céréales apparaissent même comme la source d’amidon la plus digeste pour nos animaux de compagnie, comparée à d’autres légumes tels que les pois, lentilles ou pois-chiches. C’est ce que démontrent plusieurs études comparatives qui illustrent le fait que les céréales suivantes, riz et maïs, ont une digestibilité d’environ 99%¹².

Quoi qu’il en soit, croquettes sans céréales ou avec céréales, les glucides issus de céréales ou issus de légumes doivent dans tous les cas être limités.

Le point sur les méthodes de calcul des glucides

Malheureusement, sur Internet, on trouve aujourd’hui de tout. Certains lanceurs d’alertes aux croquettes toxiques n’hésitent pas à utiliser des méthodes de calcul datant des années 1970³, désormais totalement dépassées.

C’est notamment le cas de la méthode de calcul des “glucides totaux par différence avec la Cellulose Brute”, encore utilisée par certains. Cette méthode reflétait à l’époque l’état de la connaissance de la chimie des glucides, qui était très pauvre dans la fin des années 70. Résultat : il s’agit d’une méthode trompeuse pour les consommateurs, qui vient entacher les conclusions sur les différentes marques, et ne leur permet pas de faire un choix éclairé sur la question.

Depuis ces années où nous découvrions ce qu’étaient les glucides, notre connaissance et nos méthodes de calcul ont considérablement évolué, pour être remplacées par la méthode par soustraction des TDF (Fibres Alimentaires Totales)⁴ déjà chez l’humain, dès 1992. Nous invitons les lanceurs d’alertes aux croquettes toxiques sur Facebook et Internet à se mettre à jour à ce sujet.

La vigilance reste donc de vigueur, lorsque l’on parle de glucides et de croquettes avec ou sans céréales.

Une réalité trop souvent ignorée

De plus, au-delà de ces soucis de méthodologies de calcul, on ignore souvent que “sans céréales” n’est absolument pas synonyme de “sans glucides” comme certains acheteurs peuvent le penser. La réalité est parfois bien loin de là. On est en droit de se demander si toutes les croquettes sans céréales remplissent bien leurs promesses.

En effet, beaucoup de croquettes sans céréales présentent tout autant de glucides ; mais cette fois-ci, ces glucides sont issus des légumes et des fruits. Et, comme nous allons le voir, certains légumes utilisés ne sont malheureusement pas toujours la meilleure alternative pour la santé des chiens.

Avec ou sans céréales, toutes les croquettes contiennent des glucides. Aucune marque ne doit vous laisser penser qu’elle n’en contient pas. Certains consommateurs pensent qu’en achetant du sans céréales, ils achètent une croquette sans glucides, ou alors très pauvre en glucides car très souvent les marques “sans céréales”, tout comme les marques “avec céréales”, n’annoncent pas leur taux de glucides. Ce manque de transparence sur leur taux de glucides est bien dommage !

Beaucoup de consommateurs sont étonnés de voir qu’en réalité, leurs nouvelles croquettes contiennent soit à peine moins de glucides, soit autant de glucides, voire parfois plus de glucides. Qu’il s’agisse de l’amidon des céréales ou de l’amidon des légumes, chacun d’eux apportent des glucides.

Globalement, on constate que les croquettes sans céréales sont en réalité aussi riches en glucides que des gammes équivalentes de croquettes avec céréales. Seules quelques marques de croquettes sans céréales ont moins de glucides qu’un grand nombre de marques avec céréales.

N’oubliez cependant pas qu’il existe également quelques marques de croquettes avec céréales qui ont moins de glucides que l’énorme majorité des croquettes sans céréales. Certaines font même partie des quelques croquettes les moins riches en glucides au monde.

Alors pour choisir vos croquettes sans céréales, à quoi faut-il faire attention ? Que faut-il comparer sur les étiquettes de vos aliments ?

Croquettes sans céréales : attention à la présence de certains légumes

Des croquettes sans céréales intègrent certains légumes, fruits, tubercules et/ou légumineuses. Mais est-ce toujours bon pour la santé de nos chiens et chats ? Autant les céréales ont été diabolisées, autant aujourd’hui on est réellement en droit de se poser la question de savoir si certains fruits, légumes, légumineuses ou tubercules ne seraient pas eux-même réellement inadaptés, voire toxiques pour d’autres, pour la santé de nos carnivores.

Les pommes de terre, patate douce, lentilles, pois, pois-chiches et compagnie ont-ils réellement leur place dans le régime carnivore de nos animaux de compagnie ?

Nous alertons depuis 2014 sur la questions mais, depuis 2017, ce sont également des organismes d'État qui tirent la sonnette d’alarme quant à la présence de certains ingrédients dans l’alimentation de nos chiens et chats. Prenons donc le temps d’observer cette question, cruciale pour la santé de nos compagnons.

Votre chien a-t-il besoin de légumes ou de fruits ?

Voilà des millénaires que nos chiens, cousins proches des loups, ont été domestiqués par nos soins. Un fait qui peut faire penser que, peut-être, ils ont adopté le même régime omnivore que nous depuis.

Pourtant, la vérité est toute autre. Le chien, malgré cette domestication millénaire, demeure un carnivore naturel. Et ces carnivores, dans la nature, n’ont aucun besoin en éléments végétaux.

En témoignent les travaux de Lucyan David Mech, zoologiste et spécialiste des loups et chiens sauvages. Il explique dans son livre Wolves : Behavior, Ecology and Conservation⁵) (compilation de plus de 350 années d’observations, d’études et de recherches) :

“D'habitude, les loups consomment les organes les plus grands comme les poumons, le cœur et le foie. Le grand rumen (qui est l'un des estomacs principaux des grands ruminants) est fréquemment perforé lorsque le loup l'extrait de la carcasse et son contenu se déverse. Les végétaux présents dans le conduit intestinal n'ont pas d'intérêt pour les loups, mais la paroi intestinale et l'estomac lui-même sont consommés, alors que leur contenu restera ensuite à côté des restes de la proie.”

D’autres spécialistes, comme le Dr. A. George Feldhammer, démontrent également l’inutilité des légumes et fruits pour nos chiens en abordant la constitution de leur système digestif lui-même.

Hormis le fait que leur estomac représente 67% du poids total de leur appareil digestif⁶, contre seulement 10% chez l’homme, et que les sucs gastriques du chien ont un PH très acide (pH 1), caractéristiques d’un régime totalement carnivore, A. George Feldhammer précise surtout que l’intestin de votre chien est trois fois plus court que celui de son maître omnivore⁶. Conséquence : la digestion des fibres des légumes, qui ont besoin d’un intestin long afin d’avoir le temps d’être fermentabilisés et donc digérés, lui est impossible. C’est d’ailleurs pour cette raison que la plupart des légumes sont retrouvés intacts dans les selles du chien. Le meilleur exemple étant la carotte qui est facilement repérable de par sa couleur orange dans les selles.

Il est ainsi clair qu’un chien n’a donc aucun besoin physiologique ou naturel en végétaux.

Les répercussions de certains végétaux sur sa santé

Au-delà du fait qu’un chien n’en a pas besoin, les fibres complexes et certaines substances contenues dans certains végétaux tels que plusieurs légumineuses, tubercules et autres, ne sont clairement pas toujours sans répercussions sur la santé de nos animaux, source de nombreuses intolérances digestives pour certains, voire d’une réelle toxicité reconnue pour d’autres.

On constate bien souvent qu’un chien nourri avec certains de ces légumes ou des fruits (cités ci-après), va souffrir de :

• Diarrhées ou selles molles chroniques, voire selles noires (lors de présence de pomme de terre ou de patate douce)
• Vomissements de bile jaunâtre et gastrites chroniques
• Un chien qui se met à manger beaucoup d’herbe
• Ballonnements et/ ou flatulences excessives voire nauséabondes
• Pancréatites aiguës
• Troubles hépatiques…

La FDA (U.S. Food and Drug Administration) a même mis en ligne une étude de grande ampleur très préoccupante, sur le lien potentiel entre les légumes dans l’alimentation canine et les nombres de cas de cardiomyopathies chez les chiens qui se multiplient ces dernières années. La FDA est très préoccupée par cette flambée des cas de DCM (cardiomyopathie dilatée) qui s'est produite ces dernières années⁷.

Or, bien souvent, on constate qu’après avoir arrêté de consommer ces légumes, les symptômes précédemment cités s’arrêtent souvent en quelques jours ou semaines seulement. Preuve que certains ingrédients tels que ces légumes peuvent avoir des répercussions, et non des moindres, sur la santé de nos chiens sur le court, moyen et long terme.

Les légumes, tubercules, légumineuses et fruits à absolument éviter

En tant que passionnés de santé animale, nous sommes convaincus des effets nocifs des légumes sur l’organisme des chiens. Nous le constatons chaque jour.

Toutefois, nous ne sommes pas seuls : le Centre Antipoison Animal de l’Ecole Vétérinaire a déclaré comme toxiques bon nombre de ces aliments d’origine végétale. La FDA Américaine, quant à elle, en a placé certains légumes sous très haute vigilance liés à leur risque potentiel.

Voici donc les aliments sur lesquels vous devez être très vigilants ou que vous devez absolument bannir de la gamelle de votre chien, selon ces deux autorités compétentes :

• Pomme de terre⁸ (voir notre article)
• Pois
• Patates douces
• Lentille
• Pois-chiche
• Courgette
• Raisin⁹
• Ail & oignon¹⁰…

Au vu de cette liste, on pourrait raisonnablement en déduire que tous les tubercules et légumineuses sont potentiellement très nocifs pour nos compagnons.C’est d’ailleurs ce que conclut la Food and Drug Administration elle-même.

L'AVIS D'ANNE ROS, ELEVEUR AUX JOYEUSES GAMBADES (Meilleur Élevage de France dès 1998)¹¹

“En tant qu’éleveurs professionnels et passionnés depuis plus de 30 ans, nous sommes assez préoccupés par certaines pratiques alimentaires, qu’il s’agisse de croquettes, de pâtée ou d’alimentation crue.
Dès 2014, nous avons commencé à alerter sur la répercussion de l’utilisation de certains légumes sur la santé des chiens, et cela se confirme fortement avec les années. Nous avons malheureusement, tous les jours, des propriétaires désemparés qui nous contactent pour nous faire part des soucis rencontrés. Les légumes qui semblent poser le plus souci actuellement sont : la pomme de terre, la patate douce, les pois, les lentilles et les pois-chiches. Les intolérances que nous constatons personnellement sont très nombreuses, sans parler de la toxicité reconnue de certains d’entre eux pour nos chiens.
De notre point de vue d’éleveur, au-delà de cette constatation, nous nous posons la question de comprendre la logique de donner ces légumineuses ou tubercules à nos chiens qui, rappelons-le, sont des carnivores avec un intestin trois fois plus court que celui de leur maître omnivore. Déjà mal digérés chez bon nombre d’humains, cela a-t-il du sens de retrouver ces légumineuses et tubercules dans leur gamelle ? Doit-on s’étonner de telles répercussions sur leur santé ?
Nous pensons qu’il est nécessaire maintenant d’avoir une réelle prise de conscience sur ce point, car la santé de nos animaux dépend directement des décisions de leur maître, qui doit donc être averti et éclairé sur le sujet.”

Vous souhaitez dès maintenant avoir un avis sur le régime actuel de votre chien, ou sur sa santé ? Laissez-nous un commentaire ci-dessous, ou contactez-nous directement par email : nous vous répondrons et partagerons notre expérience avec grand plaisir.

Comparatif : alors, croquettes AVEC ou SANS céréales ?

Il est raisonnable de se poser la question, et de comparer les différentes alternatives de nutrition pour nos compagnons.

Avec ou sans céréales : les risques sont malheureusement partout

Les marques citées le plus fréquemment dans les rapports soumis à la FDA jusqu’au 30 avril 2019 comprennent des aliments également vendus en Europe. La FDA souligne que ces rapports font surtout état de régimes sans céréales, mais aussi de quelques régimes avec céréales qui contiennent également ces légumes (qu’il s’agisse de croquettes, de conserves, de cru ou de ration ménagère)¹².

Comme l’explique la FDA, le fil conducteur semble être la présence de légumineuses et de tubercules, présents dans chacun de ces aliments, comme principaux ingrédients de la nourriture. La FDA souligne que ces ingrédients (pomme de terre, pois, patate douce, lentille, pois-chiches) sont systématiquement présents dans les 10 premiers ingrédients cités dans la composition de la croquette.

Nous vous invitons donc à regarder les étiquettes de vos aliments. Cela comprend également les dérivés de protéines, d'amidon et de fibres de ces ingrédients (par exemple, les protéines de pois, l'amidon de pomme de terre ou les fibres de pois)¹³.

Si l’on compare les marques avec et sans céréales, à gamme équivalente, pour la plupart, on remarque rapidement qu’elles contiennent globalement les mêmes ingrédients et que seules les céréales sont remplacées par des légumes ou inversement.

Ceci étant, par pur bon sens, on préfèrera toujours une croquette sans légumineuses et sans tubercules.

Personnellement, nous recommandons une croquette qui intègre des céréales en petite quantité (voire réduit au strict minimum), plutôt qu’une croquette intégrant des légumes/fruits. En effet, une croquette sans aucune céréale devra systématiquement intégrer des légumes amylacés riches en amidons, sur lesquels nous estimons ne pas avoir assez de recul (sauf sur ceux déjà cités par le Centre Antipoison Animal et la FDA).

D’autant plus que nous constatons au quotidien les effets liés à la présence de ces légumineuses et tubercules dans l’alimentation des chiens. Heureusement dès que les maîtres en prennent conscience et qu’ils retirent ces ingrédients de l’alimentation du chien, ces derniers retrouvent très rapidement un confort digestif, à condition bien sûr de respecter d’autres points essentiels à leur santé et que nous décrivons plus en détail ci-dessous.

Finalement, on est en droit de se demander si en intégrant n’importe quelle légumineuse ou tubercule dans une croquette, certains n’auraient pas été un peu trop vite ?

Que la croquette soit avec ou sans céréales, peu importe au fond : si elle souscrit bien aux Besoins Biologiques et Naturels du chien, de par sa qualité et par le fait d’intégrer uniquement des ingrédients adaptés à son régime carnivore.

Votre réflexe premier à avoir : surveiller les étiquettes des croquettes

Quel que soit le type de croquette que vous souhaitez acheter, surveillez les étiquettes, et proscrivez tous les aliments qui présentent dans leur composition :

• Certains fruits ou légumes, notamment : pomme de terre, patate douce, pois, lentille, raisin, pois-chiche, courgette et tomate.
• Des sous-produits animaux ou beaucoup de porc.
• Un très faible taux de protéines animales ou avec beaucoup de protéines végétales, notamment avec la présence de pois (beaucoup utilisé pour son apport en protéines végétales coûtant moins cher que les protéines animales).
• Plus de ⅓ de la composition en glucides, c’est à dire plus de 33% de l’aliment.

Et pour aller plus loin encore, et réellement préserver la santé de votre cher compagnon, n’hésitez pas à suivre les 6 critères de qualité des meilleures croquettes pour chien, que nous vous partageons dès à présent.

Les 5 critères-clés d’une croquette pour chien adaptée à sa santé

Vous l’avez compris : acheter la meilleure croquette pour son chien, c’est avant tout choisir celle qui respecte ses Besoins Biologiques et Naturels.

Pour ce faire, et quelle que soit l’alimentation que vous choisissez pour votre compagnon, veillez à ce qu’elle réponde à ces 5 critères essentiels, qui préservent sa santé tout au long de sa vie :

1. Sa croquette ne doit comporter aucun légume, fruit, tubercule ou légumineuse : pomme de terre, pois, lentille, patate douce, pois-chiche, tomate, … Votre compagnon est un carnivore, et certains de ces ingrédients peuvent potentiellement provoquer de réelles intolérances ou effets nocifs sur sa santé.
2. Sa croquette doit contenir des protéines animales en quantité, mais surtout en qualité et issues de viandes agréées à la consommation humaine., et ne contenant aucun sous-produit animal, ni farine d’os. Privilégiez les protéines et graisses issues de viandes propres à la consommation humaine et dont vous connaissez l’origine. Toujours garder en tête que beaucoup de pays n’ont pas du tout les mêmes législations que l’Europe pour obtenir l'appellation “propre à la consommation humaine” ou “viande fraîche”, etc. (voir notre article sur la viande fraîche et les protéines déshydratées)
3. Sa croquette doit contenir le strict minimum de glucides, à savoir ⅓ maximum (33% de l’ingrédient). Il en va de sa santé. A CROQ’ la Vie nous avons été jusqu’à réduire ce taux au plus strict minimum avec près de ⅕ seulement, un des plus bas taux du marché.
4. Sa croquette doit être cuite lentement, à basse température : un essentiel pour préserver les bons nutriments des ingrédients qu’elle contient.
5. Sa croquette doit être testée, notamment contre les mycotoxines, les OGM et les métaux lourds. Il s’agit, selon de plus en plus d’études récentes, d’éléments qui sont retrouvées dans bon nombre de croquettes pour chien sans céréales et avec céréales également.¹⁴¹⁵¹⁶ (voir nos articles sur les alertes croquettes et études scientifiques officielles)

C’est selon ces critères, essentiels à nos yeux pour la santé de nos compagnons, que sont nées il y a plus de 15 ans nos croquettes CROQ’ la Vie. A l’élevage des Joyeuses Gambades, nous avons rapidement pris conscience de combien la gamelle de nos chiens, et ce qu’elle contient, influence leur santé.

GARE À L'ORIGINE ET À LA QUANTITÉ DE GLUCIDES

Téléchargez immédiatement l'infographie ci-dessous et lisez-là attentivement. Découvrez pourquoi, parmi les 5 points essentiels à vérifier lorsque vous choisissez les croquettes de votre chien, vous ne devez jamais négliger la provenance et la quantité de glucides qu'elles contiennent. Car malheureusement, ne pas y prêter attention, pourrait avoir de très graves conséquences sur la santé de votre compagnon.

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Contactez directement l'équipe du Conseil Santé dans les commentaires ci-dessous, ou par email. Elle se fera un plaisir de vous répondre et de vous faire bénéficier de conseils issus de notre riche expérience dans l'élevage. Elle vous accompagne et vous propose des solutions, toujours préalablement testées et approuvées sur nos propres animaux. Car notre plus grand souhait c'est que vous aussi obteniez des résultats concluants sur la santé de votre compagnon.

Si CROQ’ la Vie, s’érige progressivement au rang de référence en matière d’aliments pour la santé de vos animaux de compagnie, c’est d’abord grâce à vous !

MERCI

Références

1. De-Oliveira, L. D., Carciofi, A. C., Oliveira, M. C. C., Vasconcellos, R. S., Bazolli, R. S., Pereira, G. T., & Prada, F. (2008). Effects of six carbohydrate sources on diet digestibility and postprandial glucose and insulin responses in cats. Journal of Animal Science, 86(9), 2237-2246. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/18469063[↑]
2. Carciofi, A. C., Takakura, F. S., De‐Oliveira, L. D., Teshima, E., Jeremias, J. T., Brunetto, M. A., & Prada, F. (2008). Effects of six carbohydrate sources on dog diet digestibility and post‐prandial glucose and insulin response. Journal of Animal Physiology and Animal Nutrition, 92(3), 326-336. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/18477314[↑]
3. Gidenne T., Lebas F., Savietto D., Dorchies P., Duperray J., Davoust C, Lamothe L., 2015. Chapitre 5 : Nutrition et alimentation. in Gidenne 139-184. – Le Lapin : de la biologie à l’élevage, Editions Quae Versailles, France : http://www.cuniculture.info/Docs/Documentation/Publi-Lebas/2010-2020/2015-Gidenne-Le-Lapin-Chapitre-5-Nutrition-Alimentation.pdf[↑]
4. H. Greenfield, A.A.T. Southgate : Données sur la composition des aliments – Second édition – Page 185 – Par la FAO (« Food and Agriculture Organization of the United Nations » ou « Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture »), ROME 2007 : https://books.google.fr/books?id=JxIsbkQTLgwC&pg=PA185[↑]
5. David Lucyan Mech, “Wolves: Behavior, Ecology, and Conservation” (2003) à l’University of Chicago Press. (Chap.4 - p.12[↑]
6. Livre : Mammalogy - Adaptation, Diversity, Ecology, de A.George Feldhamer Lee C. Drickamer Stephen H. Vessey Joseph F. Merritt Carey Krajewski[↑][↑]
7. FDA (U.S. Food and Drug Administration) - FDA Investigation into Potential Link between Certain Diets and Canine Dilated Cardiomyopathy - June 27, 2019 : https://www.fda.gov/animal-veterinary/news-events/fda-investigation-potential-link-between-certain-diets-and-canine-dilated-cardiomyopathy[↑]
8. La pomme de terre : enregistrée au Centre Antipoison Animal, Chapitre “plantes toxiques” : https://www.centre-antipoison-animal.com/pomme-terre.html[↑]
9. Le raisin : enregistré au Centre Antipoison Animal, Chapitre “plantes toxiques” : https://www.centre-antipoison-animal.com/raisin.html[↑]
10. L’ail et l’oignon :, enregistrés au Centre Antipoison Animal, Chapitre “plantes toxiques” : https://www.centre-antipoison-animal.com/oignon.html[↑]
11. Elevage des Joyeuses Gambades - Meilleur élevage de France dès 1998 : https://bouvier-suisse.com/[↑]
12. FDA - June 27, 2019 - Questions et réponses: FDA Center for Veterinary Medicine Investigation of a Possible Connection Between Diet and Canine Heart Disease (Questions & Answers: FDA Center for Veterinary Medicine’s Investigation into a Possible Connection Between Diet and Canine Heart Disease) : https://www.fda.gov/animal-veterinary/animal-health-literacy/questions-answers-fda-center-veterinary-medicines-investigation-possible-connection-between-diet-and[↑]
13. FDA - June 27, 2019 - Questions et réponses: FDA Center for Veterinary Medicine Investigation of a Possible Connection Between Diet and Canine Heart Disease (Questions & Answers: FDA Center for Veterinary Medicine’s Investigation into a Possible Connection Between Diet and Canine Heart Disease) : https://www.fda.gov/animal-veterinary/animal-health-literacy/questions-answers-fda-center-veterinary-medicines-investigation-possible-connection-between-diet-and[↑]
14. Squadrone S , Brizio P , Simone G , Benedetto A , Monaco G , Abete MC – “Presence of arsenic in pet food : a real hazard ?” (Présence d’arsenic dans les aliments pour animaux de compagnie : un danger réel ?) – Vet Ital. 29 décembre 2017; 53 (4) : 303-307. doi : 10.12834 / VetIt.530.2538.2. : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/29307124 (Version entière au format PDF : http://www.izs.it/vet_italiana/2017/53_4/VetIt_530_2538_2.pdf Voir notre article sur la question : https://leblog.croqlavie.ch/alerte-croquettes-arsenic[↑]
15. L’EFSA évalue la présence d’arsenic dans les aliments – European Food Safety Authority : https://www.efsa.europa.eu/fr/press/news/contam091022[↑]
16. Witaszak, N .; Stępień, Ł .; Bocianowski, J .; Waśkiewicz, A. Fusarium Espèces et mycotoxines contaminant les régimes vétérinaires pour chiens et chats. Microorganismes 2019 , 7 , 26. : https://www.mdpi.com/2076-2607/7/1/26[↑]