4 étapes pour vermifuger un chat efficacement

4 étapes simples pour bien vermifuger un chat 4 étapes simples pour bien vermifuger un chat

“Mon chat a des vers : comment le vermifuger ?” Voilà une question que l’on nous pose souvent. Il est vrai que la vermifugation ne va pas forcément de soi pour les propriétaires de matous : quand faut-il vermifuger un chat ? Comment lui administrer l’antiparasitaire ? À quelle fréquence ?

Les 4 étapes-clés de cet article vous dévoilent en toute simplicité comment vermifuger un chat, mais aussi comment éviter la récidive des parasites intestinaux. Tout ce qu’il faut pour aider votre compagnon à garder une bonne santé intestinale !

Rappel : Les symptômes traditionnels des vers intestinaux chez le chat, qu’il s’agisse de vers ronds ou de vers plats, sont sensiblement les mêmes :

  • Des selles molles, mal moulées, mal formées, voire une diarrhée
  • Une perte de poids associée à une augmentation de l’appétit
  • Un chat qui fait le traîneau, en frottant ses fesses au sol, du fait de la présence de vers à l’entrée de son anus
  • Parfois des vomissements
  • Un ventre gonflé (surtout chez les chatons)
  • Un pelage plus terne que d’habitude

Étape 1 : Vérifier que votre chat ne souffre pas de la Giardiose ou de la Coccidiose

Peut-être ne le saviez-vous pas, mais aucun vermifuge pour chat à lui seul, quel qu’il soit, n’est efficace contre tout le spectre de parasites intestinaux que peut rencontrer votre chat au cours de sa vie. Il est donc important de vérifier que l’antiparasitaire que vous utilisez pour vermifuger votre chat est bien susceptible de lutter contre son infestation de vers.

Or, dans les cas des parasitoses que sont la Giardiose et la Coccidiose, seuls des traitements très spécifiques sont efficaces. C’est pourquoi, dans un premier temps, il est crucial d’éliminer ce type de diagnostic.

Voici comme procéder :

  • Si votre chat souffre de la Giardiose, ses excréments seront mous et de couleur terne, parfois verdâtre. Il faudra d’abord utiliser le vermifuge Panacur, le seul à être efficace dans 60% des cas de cette parasitose. Si le Panacur1 s’avère inefficace, seulement pourrez-vous passer à un traitement antibiotique tel que le Métrobactin2 (ou Flagyl), à lui donner sous haute surveillance médicale. Consultez notre guide si vous soupçonnez une Giardiose chez votre chat.
  • Si votre chat souffre de la Coccidiose, ses selles seront liquides, voire très liquides, et auront une couleur jaunâtre. Dans ce cas, il faudra passer par un antibiotique de la famille des Sulfamides / Triméthoprimes3, tels que le Bactrim4 ou le Sultrian5. Si vous soupçonnez une Coccidiose chez votre chat, consultez notre guide.

Quoiqu’il arrive, ces traitements seront prescrits par votre vétérinaire, après que celui-ci ait confirmé votre primodiagnostic avec un test parasitaire spécifique à la Giardiose ou à la Coccidiose. Ces tests sont trop peu souvent pratiqués par les professionnels de la santé animale : n’hésitez pas à le demander clairement à votre praticien !

À quelle fréquence vermifuger son chat ?

Voilà une question que l’on voit souvent revenir lorsqu’on parle d’affections parasitaires. Sachez que la plupart des vétérinaires recommandent que les chats adultes soient vermifugés à titre préventif 4 fois par an. Seulement, vous allez découvrir plus loin dans l’article qu’avec une alimentation adaptée à ses Besoins Biologiques et Naturels, votre chat n’aura besoin d’être vermifugé que 2 fois par an.

Concernant les chatons, la donne est différente. En effet, leur système immunitaire n’est pas encore totalement prêt à affronter les parasites internes, et ils sont donc plus susceptibles de développer des parasitoses qui pourraient mettre leur santé en péril. Si vous avez un chaton, vermifugez-le donc à titre préventif tous les mois jusqu’à l’âge de 6 mois.

Étape 2 : Choisir le vermifuge à lui administrer

Maintenant que vous avez écarté les diagnostics de la Giardiose et de la Coccidiose, il vous faut choisir le bon vermifuge pour aider votre compagnon à retrouver une bonne hygiène intestinale.

Il existe pléthore de vermifuges sur le marché, disponibles en pharmacie, sur ordonnance de votre vétérinaire ou en libre-service. Parmi les plus connus, on compte notamment…

Chacun de ces vermifuges cible des spécimens de vers parasites spécifiques. Ils existent soit sous forme de comprimés, soit sous forme de pipettes contenant un liquide vermifuge. Parfois, lorsque le système intestinal du chat souffre d’une infestation très importante de vers plats ou de Dirofilaria, le vétérinaire peut procéder à une injection de vermifuge.

À cette étape, nous ne pouvons que vous pousser à demander conseil à votre vétérinaire sur le vermifuge à adopter pour votre chat. Non seulement il pourra vous aider à trouver celui qui aura le plus d’efficacité sur votre animal de compagnie ; mais il pourra également vous éviter de donner des vermifuges contre-indiqués pour votre matou (notamment pour les femelles en gestation ou allaitantes).

Notez également que, si vous vermifugez votre chat à titre préventif, il vous faut alterner d’une fois sur l’autre entre différents médicaments. En effet, tous les vermifuges n’ayant pas d’effet sur tout le spectre parasitaire, nos animaux de compagnie ont besoin d’en consommer des différents, pour éviter d’être infestés par les vers.

Attention à certains vermifuges naturels pour chat !

Il peut être tentant d’opter pour un vermifuge naturel pour son chat. Seulement, les maîtres qui optent pour cette solution, en pensant bien faire, se retrouvent souvent face à des chats qui subissent des problèmes de santé, parfois graves.

Car, en effet, certains antiparasitaires naturels peuvent s’avérer toxiques pour nos compagnons ! C’est notamment le cas de…

  • L’ail, qui provoque une diminution des globules rouges, et supprime donc l’apport en oxygène dans le sang du chat. Il est d’ailleurs enregistré au Centre Antipoison Animal de l’École Nationale Vétérinaire15 !
  • La courgette, qui va non seulement à l’encontre de la nature carnivore du chat, mais provoque quasi systématiquement des gastrites chez nos compagnons, associées à des vomissements de bile.

Le seul antiparasitaire naturel sur lequel vous pouvez compter est bien la Terre de Diatomée, qui n’est pas toxique et ne présente aucun effet indésirable et aucune contre-indication. Elle peut être utilisée dans un cadre préventif (autre que la Giardiose ou la Coccidiose), ou quand l’infestation de vers ne présente pas d’urgence médicale.

Étape 3 : Vermifuger son chat

Vous avez désormais choisi le vermifuge adapté pour lutter contre la contamination par les vers chez votre chat. Il est temps de le lui administrer !

Pour ce faire, prenez le temps de bien lire la notice d’utilisation. Celle-ci vous permettra de déterminer la posologie (soit la quantité de vermifuge à lui administrer), qui dépend du poids de corps du chat.

Ensuite, pour vermifuger le chat en soi, tout dépend du format du médicament :

  • Pour un vermifuge en comprimé, vous pouvez directement lui faire avaler directement dans la gueule, ou bien le mélanger à sa nourriture ou à un yaourt nature s’il rechigne à le prendre seul.
  • Pour un vermifuge sous forme de pipette, il s’agit de mettre le liquide contenu dans la pipette à la base de son cou, là où il ne pourra pas lécher la zone d’application avant que le produit ne sèche.

Quoiqu’il arrive, après avoir vermifugé un chat, lavez-vous bien les mains.

Surveillez les potentiels effets secondaires du vermifuge !

Comme tout médicament, aucun vermifuge n’est totalement anodin. Il peut survenir des effets secondaires après l’ingestion du vermifuge, même si ces effets sont souvent transitoires, et se résorbent d’eux-mêmes après quelques heures ou jours.

Les effets secondaires principaux des vermifuges pour chat sont les suivants :

  • Des soucis digestifs, comme des vomissements, des diarrhées ou des nausées
  • Une anorexie (soit une perte d’appétit)
  • Dans de rares cas, des tremblements, des muqueuses qui pâlissent ou une salivation excessive

Prenez soin de bien lire la notice d’utilisation de l’insecticide que vous avez choisi, et surveillez l’attitude de votre chat dans les temps qui suivent le traitement. Au moindre doute (notamment si des troubles digestifs ou neurologiques semblent persister), n’hésitez pas à contacter au plus vite votre vétérinaire.

Avec une bonne alimentation, vous n'aurez besoin de vermifuger un chat que 2 fois par an

Étape 4 : Lui fournir une alimentation adaptée pour éviter la récidive des vers

Votre chat est vermifugé : félicitations ! Mais sachez-le : la lutte contre les parasites digestifs de votre chat ne doit pas s’arrêter là.

En effet, chez chiens et chats, on remarque que les animaux nourris avec une alimentation inadaptée à leurs besoins originels ou de qualité médiocre présentent plus de chances de subir des infestations de vers. La raison à cela est simple : avec une nourriture inadaptée, l’animal présente un système immunitaire affaibli, et devient plus sujet à des parasitoses que s’il était nourri correctement.

Ainsi, en lui choisissant la bonne alimentation, qui prendra soin de son système digestif, vous pourrez vermifuger votre chat, non plus 4 fois par an, mais seulement 2 fois par an, à titre préventif.

Important : votre chat est carnivore !

Les modes alimentaires actuelles, qui incluent des légumes dans bon nombre de pâtées et de croquettes pour chat, peuvent vous en avoir fait douter… mais son intestin ne ment pas ! Les intestins du chat sont en effet 3 fois plus courts que ceux de l’homme, lisses et sans ostracion16. Par conséquent, le chat trouve des difficultés à digérer ces ingrédients… voire pire, comme vous allez le découvrir par la suite !

Mais alors, quel type de nourriture choisir pour son chat, afin de prévenir de futures infestations de vers ? C’est simple : il suffit de se référer à ses Besoins Biologiques et Naturels, en suivant les 5 critères de qualité alimentaire suivants :

  1. Une alimentation sans légume, tubercule, légumineuse ou fruit. Fondamentalement inadaptés à son régime originel, ces ingrédients provoquent sur le tube digestif du chat des irritations chroniques, menant très fréquemment à des diarrhées et selles molles, des vomissements bilieux, des pancréatites aiguës, des dermatites ou encore des troubles hépatiques. Ils sont donc à éviter, même en très petite quantité, qu’il s’agisse de pommes de terre, de patates douces, de lentilles, de pois, de pois chiches, de petits pois, de tomates, de courgettes, ou d’autres ingrédients similaires. D’ailleurs, sachez-le : la pomme de terre17, le raisin18, l’ail et l’oignon19 sont enregistrés comme “toxiques” au Centre Antipoison Animal de l’École Nationale Vétérinaire !
  2. Une alimentation pleine de bonnes protéines et graisses animales. Il s’agit de la première source de vitalité pour votre compagnon… mais malheureusement, bon nombre de nourritures pour chat ne sont aujourd’hui pas à la hauteur de ses besoins originels ! En effet, les protéines animales de qualité douteuse provoquent chez le chat les mêmes irritations chroniques et pathologies que les légumes. Il vous faut notamment éviter tout aliment à base de sous-produits animaux2021, qui sont en fait des déchets de notre industrie agroalimentaire humaine, où se mêlent des bas morceaux comme des têtes, des carcasses, des cuirs, des cous, des pattes, des becs, ou encore des plumes. L’origine de ces protéines est également cruciale : dans des pays aux législations peu fermes, comme en Amérique du Nord, il est fréquent (et totalement légal !) d’utiliser dans la PetFood des viandes avariées recyclées à la Javel22. Dans ces mêmes pays, vous trouverez également des aliments dits “à base de viande fraîche”, mais qui utilisent en fait des viandes reconstituées à partir d’une mixture de farines animales (dont on connaît rarement l’origine), de graisses, de minéraux, et surtout de beaucoup d’eau. Privilégiez donc une nourriture à base de protéines animales provenant d’abattoirs agréés à la consommation humaine, et de pays aux législations fermes, comme la France.
  3. Une alimentation au taux de glucides limité à 33% maximum (soit ⅓ de la composition de l’aliment). Bon nombre de lanceurs d’alertes aux croquettes toxiques ont tendance à diaboliser le rôle des glucides ; mais leur discours est à modérer. En effet, les glucides issus de céréales présentent bien un taux de digestibilité pour les chiens et les chats de 99%2324. C’est lorsqu’ils dépassent la limite de 33% dans l’aliment qu’ils perdent leur effet neutre sur la santé de nos animaux, et qu’ils peuvent entraîner des soucis de prise de poids, d’obésité, de diabète, ou encore d’infections urinaires chroniques25.
  4. Une alimentation cuite à basse température. Le saviez-vous ? Lorsqu’ils sont cuits à haute température, certains ingrédients libèrent dans l’aliment deux types d’éléments nocifs pour la santé de nos chats : des acrylamides26 (cancérigènes) d’une part, et des Advanced Glycated End products27 (toxiques pour les reins) de l’autre. Évitez ces soucis de santé à votre compagnon, et choisissez-lui un aliment cuit à basse température !
  5. Une alimentation testée contre les mycotoxines, OGM et métaux lourds. Vous avez peut-être déjà entendu parler de la toxicité, à haute dose, de ces éléments. Pourtant, ils continuent à être présents en quantité dans la PetFood aujourd’hui ! Rien qu’en ce qui concerne les métaux lourds, qui provoquent notamment des soucis dermatologiques, les études sont formelles. Deux d’entre elles2829 ont prouvé que, sur les échantillons de nourriture animale analysés, 24% contenaient des taux d’Arsenic supérieurs à la limite posée par la législation européenne. Envie d’éviter ce type de souci pour votre matou ? Fiez-vous uniquement à des fabricants ayant fait tester leurs aliments en laboratoire, et affichant avec transparence les résultats de ces tests. C’est là le gage d’un véritable engagement pour la santé animale !

Grâce à une nourriture suivant ces critères de qualité, vous vous assurez que votre chat conservera une santé gastro-intestinale optimale, et que vous n’aurez plus besoin de le vermifuger que deux fois par an.

5 critères pour choisir la croquette idéale !

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CROQ’ la Vie : l’aliment qui suit votre compagnon tout au long de sa vie

Pour créer nos croquettes pour chat CROQ’ la Vie, nous appliquons les plus stricts critères de qualité alimentaire. Notre crédo ? Fournir aux chats et aux chiens une alimentation au plus proche de leurs Besoins Biologiques et Naturels.

Dedans, vous ne trouverez donc que ce dont votre matou a besoin :

  • Aucun légume, fruit, tubercule ou légumineuse
  • 70% d’ingrédients d’origine animale, provenant d’abattoirs agréés à la consommation humaine
  • 21% de glucides seulement
  • Une cuisson basse température
  • Uniquement des ingrédients provenant de France, pour une traçabilité optimale
  • Des tests en laboratoire : consultez les résultats ici !

Grâce à ces croquettes, nombreux sont les animaux qui ne subissent plus du tout d’affection parasitaire intestinale : le vôtre sera-t-il le prochain à en profiter ?

Besoin d’accompagnement pour vermifuger votre chat, ou pour le changer d’alimentation ? Contactez-nous dans les commentaires ci-dessous, ou par email directement. C’est toujours un plaisir pour nous de vous aider à apporter le meilleur à votre compagnon !

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Références

  1. RCP Officiel du Vermifuge PANACUR pour chat[]
  2. RCP Officiel METROBACTIN[]
  3. Amel Letaief Omezzine – CHU Farhat Hached Sousse : Les anti-coccidies, Les anti-microsporidies – 2010[]
  4. RCP Antibiotique Bactrim – anti-coccidien[]
  5. RCP Antibiotique Sultrian – anti-coccidien[]
  6. RCP officiel : Milbemax pour chat[]
  7. RCP officiel : Dolthène pour chat[]
  8. RCP officiel : Drontal pour chat[]
  9. RCP Officiel du Vermifuge PANACUR pour chat[]
  10. RCP officiel du Vermifuge Profender pour chat[]
  11. RCP officiel du Vermifuge Milbactor pour chat[]
  12. RCP officiel du Vermifuge Milpro pour chat[]
  13. RCP officiel du Vermifuge Advocate pour chat[]
  14. RCP officiel du Vermifuge Ascatene pour chat[]
  15. Plantes Toxiques pour les chat (oignon et ail) selon le centre Anti-poison Animal de l’Ecole Nationale Vétérinaire (France) : https://www.centre-antipoison-animal.com/oignon.html[]
  16. Mammalogy – Adaptation, Diversity, Ecology, de A.George Feldhamer Lee C. Drickamer Stephen H. Vessey Joseph F. Merritt Carey Krajewski – edition Johns Hopkins University Press (4ème édition) – 27 mars 2015[]
  17. Toxicité digestive et nerveuse de la Pomme de terre – Centre antipoison Animal de l’Ecole Nationale Vétérinaire : https://www.centre-antipoison-animal.com/pomme-terre.html[]
  18. Le raisin : enregistré au Centre Antipoison Animal, Chapitre “plantes toxiques” : https://www.centre-antipoison-animal.com/raisin.html[]
  19. L’ail et l’oignon : enregistrés au Centre Antipoison Animal, Chapitre “plantes toxiques” : https://www.centre-antipoison-animal.com/oignon.html[]
  20. SIFCO (Syndicat des Industries Françaises des Coproduits Animaux) – Valorisation des sous-produits ou co-produits animaux : https://www.sifco.fr/valorisation#coproduits[]
  21. RÈGLEMENT (CE) No 1069/2009 DU PARLEMENT EUROPÉEN ET DU CONSEIL – du 21 octobre 2009 – établissant des règles sanitaires applicables aux sous-produits animaux et produits dérivés non destinés à la consommation humaine et abrogeant le règlement (CE) no 1774/2002 (règlement relatif aux sous-produits animaux) : https://eur-lex.europa.eu/LexUriServ/LexUriServ.do?uri=OJ:L:2009:300:0001:0033:FR:PDF[]
  22. Viandes avariées recyclées aux Etats Unis et en Europe : https://www.amisdelaterre.org/communique-presse/tafta-ttip-la-viande-a-la-javel-s-approche-de-nos-assiettes/[]
  23. Carciofi, A. C., Takakura, F. S., De‐Oliveira, L. D., Teshima, E., Jeremias, J. T., Brunetto, M. A., & Prada, F. (2008). Effects of six carbohydrate sources on dog diet digestibility and post‐prandial glucose and insulin response. Journal of Animal Physiology and Animal Nutrition, 92(3), 326-336. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/18477314[]
  24. De-Oliveira, L. D., Carciofi, A. C., Oliveira, M. C. C., Vasconcellos, R. S., Bazolli, R. S., Pereira, G. T., & Prada, F. (2008). Effects of six carbohydrate sources on diet digestibility and postprandial glucose and insulin responses in cats. Journal of Animal Science, 86(9), 2237-2246. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/18469063[]
  25. Faculté de Médecine Vétérinaire de Montréal – Service diagnostic – Urology : https://www.medvet.umontreal.ca/servicediagnostic/materiel_pedagogique/urologie/uro_chimie.html[]
  26. FRC (Fédéraction Romande des Consommateurs) - Croquettes pour chat : la gamelle qui rend malade : https://www.frc.ch/croquettes-pour-chat-la-gamelle-qui-rend-malade/[]
  27. Bohlender JM (Klinik für Innere Medizin III, Universitätsklinik Jena, Erlanger Allee 101, Jena, Germany), Franke S, Stein G, Wolf G : Advanced glycation end products and the kidney - Am J Physiol Renal Physiol. 2005 Oct;289(4):F645-59 : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/16159899[]
  28. Squadrone S , Brizio P , Simone G , Benedetto A , Monaco G , Abete MC – “Presence of arsenic in pet food : a real hazard ?” (Présence d’arsenic dans les aliments pour animaux de compagnie : un danger réel ?) – Vet Ital. 29 décembre 2017; 53 (4) : 303-307. doi : 10.12834 / VetIt.530.2538.2. : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/29307124 (Version entière au format PDF : http://www.izs.it/vet_italiana/2017/53_4/VetIt_530_2538_2.pdf[]
  29. M. Davies , R. Alborough , L. Jones , C. Davis , C. Williams , et DS Gardner, (2017) : Mineral analysis of complete dog and cat foods in the UK and compliance with European guidelines “Analyse minérale d’aliments complets pour chiens et chats au Royaume-Uni et conformité aux directives européennes.” : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC5719410/#CR5[]

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