Dermatite atopique chien : un traitement homéopathique est-il possible ?

Voilà quelques temps déjà que votre chien se gratte, et le verdict est tombé : il souffre de dermatite atopique. Face à cette pathologie, en maître attentif à la santé de votre chien, vous souhaitez vous tourner vers un traitement naturel, qui le libérera de ses démangeaisons incessantes.

Que valent réellement les traitements homéopathiques contre la dermatite atopique du chien ? C’est ce que vous allez découvrir dans cet article, qui vous surprendra peut-être, tant la solution naturelle contre cette affection est simple à mettre en place !

Pour tout savoir sur la dermatite atopique chez le chien, de ses origines aux traitements possibles, consultez notre dossier Dermatite atopique du chien : les véritables causes & les solutions naturelles

Les traitements homéopathiques contre la dermatite atopique du chien : pas si efficaces ?

La question est épineuse : les traitements homéopathiques ont-ils une réelle efficacité sur le chien qui se gratte ? Réponse, avec explications scientifiques à l’appui.

Ce que les traitements homéopathiques ont comme effet…

Peut-être vous êtes-vous déjà renseigné sur les différents remèdes de grand-mère anti-démangeaisons pour chien. Parmi eux, les traitements homéopathiques sont en vogue.

On retrouve généralement trois types de traitements homéopathiques recommandés contre la dermatite atopique du chien :

• Ceux qui drainent les systèmes émonctoires du chien. Un système émonctoire est un organe (comme le foie, les reins, les poumons ou encore la peau) en charge de l’élimination des éléments toxiques présents dans l’organisme du chien. Ainsi, les traitements homéopathiques se focalisant sur ces organes émonctoires évacuant la surcharge de toxiques qui sont présents dedans, pour libérer la peau (qui est souvent l’organe émonctoire qui prend le relai lorsque tous les autres sont saturés).
• Ceux qui boostent le système lymphatique du chien. En somme, ces traitements ont pour objectif de donner un coup de fouet au système immunitaire de votre compagnon, pour l’aider à lutter contre la dermatite atopique.
• Ceux qui agissent comme anti-inflammatoire. Ils servent à diminuer l’inflammation de la peau.
• Ceux qui désintoxiquent l’organisme de la pollution des métaux lourds. Ces derniers peuvent être à l’origine de problèmes dermatologiques non négligeables, dont les dermites d’irritation. On retrouve malheureusement ces métaux en grandes quantité dans certaines alimentations ou croquettes, sans que le consommateur en ait forcément conscience ou en soit informé.

Les traitements homéopathiques contre la dermatite atopique du chien étant 100% naturels, ils ne peuvent pas lui faire de mal, et sont sans effets secondaires. Cependant, vous allez vite comprendre pourquoi ils n’aideront pas votre chien à guérir durablement de sa dermatite… voici pourquoi !

… et ce qu’ils ne font pas pour la santé de votre chien

Pour comprendre l’inefficacité sur le moyen et long terme des traitements homéopathiques contre la dermatite, il s’agit de se pencher sur les origines même de la pathologie.

La peau étant un système émonctoire, elle a pour objectif, et encore plus quand les autres organes émonctoires sont saturés, de libérer l’organisme des éléments toxiques pour le chien. Ainsi, si votre chien se gratte, c’est parce qu’un élément le dérange, et qu’il tente de s’en libérer par tous les moyens, y compris par la peau. En passant par les pores, ces éléments toxiques irritent l’épiderme du chien, qui se met à se démanger sans cesse.

Sans doute commencez-vous à comprendre pourquoi les traitements homéopathiques n’ont qu’une efficacité limitée contre la dermatite canine. En effet, ils ne s’attaquent jamais à l’origine même du souci de peau (les fameux éléments toxiques dans le corps du chien), mais tentent seulement de booster l’organisme du chien pour qu’il affronte ces toxiques.

Pendant ce temps, ces toxiques d’origines externes continuent d’être apportés et s’accumulent.

Et pour devancer votre réflexion, oui, vous avez raison : cela n’a effectivement pas de sens de booster l’organisme d’un côté, ou d’utiliser des anti-inflammatoires (quand bien même ils seraient naturels), si on ne s’attaque pas à l’origine de cette accumulation de toxines et que cette dernière se poursuit de l’autre côté… C’est un non-sens : demander un effort de détoxification et en même temps continuer à apporter les éléments à l’origine de ces toxines.

Or, bien souvent, la solution contre la dermatite du chien se trouve à l’origine même du souci : dans sa gamelle ! Si vous ne vous intéressez pas à l’origine du problème, vous aurez beau booster le système lymphatique du chien, drainer ses systèmes émonctoires, ou encore utiliser de l’homéopathie comme anti-inflammatoire naturel, les démangeaisons reprendront de plus belle sans cesse.

Heureusement, vous allez désormais découvrir la solution naturelle que nous, éleveurs aux Joyeuses Gambades, avons pu concevoir en nous basant sur la philosophie de la Santé par l’Alimentation©. C’est bien cette méthode naturelle qui nous a permis, depuis plus de 15 ans, d’aider des chiens à retrouver une pleine santé.

Quelle alternative naturelle pour soigner la dermatite atopique du chien ?

C’est parti ! Découvrez dès maintenant les 3 étapes-phares 100% naturelles pour guérir votre chien de sa dermatite atopique.

1. Trouver un aliment adapté à ses Besoins Biologiques et Naturels

Nous vous l’avons dit tout à l’heure : c’est bien le contenu de la gamelle de votre chien qui provoque ses démangeaisons incessantes dans l’immense majorité de cas.
Malheureusement, d’année en année, la nourriture pour chien disponible sur le marché ne cesse de s’éloigner des réels Besoins Biologiques et Naturels de nos compagnons, entrainant de réelles vagues de troubles et de pathologies diverses et variées… dont des dermatites atopiques.

Votre objectif, pour l’aider à lutter contre la pathologie : lui fournir une alimentation plus proche de ses besoins originels, qui n’intègre pas les aliments à l’origine de la dermatite.

C’est sincèrement uniquement en excluant l’origine du problème qu’on obtient les meilleurs résultats pour sa santé. C’est du bon sens, sans quoi vous ne vous en sortirez pas sur moyen et long terme. Et en plus, vous faites des économies.

Pour ce faire, c’est simple : retenez les 5 critères de qualité alimentaire suivants :

1. Aucun légume, tubercule, légumineuse ou fruit. Votre chien étant un carnivore, dont l’intestin est trois fois plus court que celui de l’homme, lisse et sans haustration¹, il ne peut digérer ces ingrédients. Par conséquent, ceux-ci irritent son système digestif, sa flore intestinale et provoquent une inflammation chronique des intestins. D’ailleurs, les légumes entraînent très souvent des réactions allergiques réellement fulgurantes, avec des chiens qui se mettent à se gratter du jour au lendemain, parfois jusqu’au sang. Ils sont donc formellement à éviter, qu’il s’agisse de pomme de terre, de patate douce, de pois, de petits pois, de pois-chiche, de haricots, de courgettes, de tomate, ou d’autres incongruités similaires. Peut-être ne le saviez-vous pas, mais le Centre Antipoison Animal de l’Ecole Nationale Vétérinaire recense déjà la pomme de terre², le raisin³, l’ail et l’oignon⁴ comme toxiques. La Food and Drug Administration (FDA) des Etats-Unis pointe du doigt, quant à elle, dans plusieurs rapports chaque année, le lien entre certains légumes, leurs dérivés (amidon de…, protéine de…, fibre de…) et des cas de cardiomyopathies chez les chiens⁵⁶⁷. Raisons de plus pour les éviter formellement !
2. Uniquement des protéines et graisses animales de qualité. Si l’on pense souvent à apporter au chien des protéines animales en quantité, on oublie souvent que la qualité de ces protéines est déterminante pour préserver leur santé ! En effet, dans bon nombre de cas de dermatites atopiques, ce sont les protéines animales qui sont à accuser. Tout comme les légumes, elles viennent provoquer ces inflammations intestinales, et apportent en plus de réelles toxines pour l’organisme du chien, à l’origine des grattements incessants. Attention donc à éviter toute protéine animale de qualité médiocre, tels que les sous-produits animaux⁸ (qui rassemblent tous les bas-morceaux que l’on n’utilise pas dans notre alimentation humaine, comme les têtes, carcasses, cuirs, cous, pattes, becs, plumes et autres⁹). Attention également à la provenance de ces protéines : tous les pays n’ont pas la chance d’avoir des législations aussi strictes que la France ! En témoignent les pratiques très courantes dans les pays d’Amérique du Nord, qui accepte parfaitement l’utilisation de viandes avariées recyclées à la Javel¹⁰ ou à l’acide dans les aliments pour animaux domestiques, ou encore les viandes reconstituées à base de farines animales d’origine douteuse, de graisses et d’eau. D’ailleurs, la DGCCRF n’hésite pas à expliquer qu’en Europe, bon nombre de fabricants usent et abusent de l’appellation “viande fraîche”¹¹. Privilégier un aliment à base de protéines et graisses animales provenant de viandes issues d’abattoirs agréés à la consommation humaine, c’est un point capital dans la volonté de vouloir guérir la dermatite atopique de son compagnon de manière naturelle, et respectueuse de ses besoins originels.
3. Des tests menés en laboratoires, notamment contre les métaux lourds, mais aussi contre les mycotoxines et les OGM. Nous parlions de l’élimination des métaux lourds lorsque ceux-ci sont à l’origine de dermatite, mais le plus important est avant tout d’éliminer la source de la contamination. Peu le savent, mais les métaux lourds tels que l’Arsenic ont de lourdes conséquences sur la santé dermatologique de nos chiens lorsqu’ils sont présents en trop grande quantité dans leur nourriture. Ils provoquent dermatites, mais également maladies de Bowen, mélanodermies ou cancers de la peau¹². Or, il n’est pas peu courant de trouver une quantité surnuméraire de métaux lourds dans la nourriture animale : des études récentes¹³¹⁴ montrent que pas moins de 24% des aliments testés dépassent les limites maximales fixées par l’Union Européenne. De quoi motiver les fabricants consciencieux à faire tester leurs aliments, et à afficher les résultats de ces tests en laboratoires dans leur communication (comme nous le faisons sur notre site web CROQ’ la Vie).
4. 33% de glucides maximum (soit ⅓ de la composition de l’aliment). Au-delà de cette limite, les glucides perdent leur effet neutre sur la santé du chien, et peuvent provoquer obésité, diabète, ou encore infections urinaires chroniques¹⁵. Ils ne sont certes pas à l’origine de dermatites atopiques comme certains le prétendent, mais ce n'est pas pour autant qu’il ne faut pas les limiter. Là aussi, c’est du bon sens.
5. Une cuisson à basse température. Il s’agit là d’un essentiel pour éviter la présence d’éléments nocifs qui apparaissent à haute température, tels que les acrylamides (cancérigènes)¹⁶ ou les Advanced Glycated End products¹⁷ (AGE, nocifs pour les reins du chien, une émonctoire essentiel).

Avec une telle nourriture, vous assurez à votre chien une éviction des éléments qui sont à l’origine même de sa dermatite atopique, sans utilisation de traitement homéopathique, mais totalement naturellement. Après tout, ce sont ses besoins originels qui parlent là, lorsqu’il retrouve la pleine santé !

Nous ne sommes pas contre l’homéopathie, mais cette dernière doit être utilisée avec du bon sens. L’homéopathie chez le chien sans se concentrer sur l’origine du problème n’est pas une solution : c’est un pansement sur une hémorragie dont, tôt ou tard, on verra les conséquences. En effet, l'homéopathie ne s’attaque qu’aux symptômes de la dermatite atopique du chien. Elle peut être utilisée momentanément et à court terme comme anti-inflammatoire naturel, mais devra rapidement être enlevée pour constater les effets bénéfiques d’une vraie alimentation adaptée.

Et si vous faisiez essayer CROQ’ la Vie à votre chien ?

Nos croquettes CROQ’ la Vie, conçues d’abord pour les chiens de notre propre élevage avant d’être commercialisées pour le plus grand nombre, suivent ces 5 critères de qualité, et ont déjà aidé bon nombre de chiens à guérir de leurs dermatite atopique.

Dedans, vous trouverez :
- 72% d’ingrédients d’origine animale, issus de viandes provenant d’abattoirs agréés à la consommation humaine
- 23% de glucides uniquement
- Aucun légume, fruit, tubercule ou légumineuse
- Des tests laboratoires contre les métaux lourds, OGM et mycotoxines
- Uniquement de bons ingrédients français, à l’origine certaine et tracée

Les chiens en raffolent, et leur santé les en remercie !

2. Dans les cas avancés : lui fournir une part de la viande crue

Dans certains cas de dermatites atopiques, il s’agit de donner un petit coup de pouce à la nature : c’est le cas si votre chien subit ces démangeaisons depuis plusieurs mois, voire années.

Dans ce cas, prenez soin d’intégrer à sa ration quotidienne (de bonnes croquettes évidemment !) une part de viande crue de volaille, d’agneau, de lapin, de canard (mais jamais de boeuf ou de porc). Faites durer le processus pendant 3 à 6 semaines minimum, jusqu’à obtenir un résultat significatif sur la santé dermatologique de votre compagnon.

Nous voyons régulièrement des chiens nourris de la sorte, dont les démangeaisons s’arrêtent plus vite grâce à ce bon apport en protéines animales. N’hésitez pas à nous demander conseil, soit dans les commentaire ci-dessous, soit par email.

3. Si les soucis persistent : faire faire un grattage de peau

Au bout de 6 à 8 semaines d’une alimentation adaptée à ses besoins originels, voire avec une bonne portion de viande crue, vous ne voyez aucun changement à la condition de votre compagnon ? Peut-être est-il victime d’une surinfection de la peau, causée par un champignon, une levure ou une bactérie, provoquant ces démangeaisons.

Dans ce cas, il est nécessaire de vous rendre chez votre vétérinaire, et de lui réclamer un grattage de peau. Il s’agit d’un processus indolore, où le vétérinaire prélève quelques squames de la peau de votre chien avec un scalpel, pour ensuite les mettre en culture et les examiner, et découvrir la présence potentielle d’une bactérie, d’une levure ou d’un champignon. Si c’est le cas, et que votre chien souffre d’une surinfection, seul le vétérinaire pourra tester et vous aider à trouver le traitement médicamenteux efficace contre ce germe en particulier.

REPRENEZ LA SANTÉ DE SA PEAU EN MAIN

Téléchargez immédiatement l'infographie ci-dessous et gardez-là bien précieusement ! Elle reprend les 5 critères essentiels aider votre compagnon à retrouver ou conserver une peau plus saine. Ces 5 conseils de bon sens ont permis d'apaiser de nombreux chiens. Retrouvez vous aussi le bonheur de caresser votre compagnon !

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A vous de jouer désormais : il est temps de fournir à votre compagnon la nourriture qu’il mérite, qui l’aidera à soigner sa dermatite atopique. Les démangeaisons ne seront bientôt qu’un mauvais souvenir pour lui !

UNE QUESTION ? NOUS Y RÉPONDRONS AVEC PLAISIR !

Pour toute question concernant la santé ou l'alimentation de votre compagnon, contactez-nous par email directement ou dans les commentaires ci-dessous. Le Service Conseil Santé de CROQ' la Vie est là pour vous répondre et vous accompagner. 30 années d'expérience dans l'élevage ça compte aussi pour bien vous conseiller !

Références

1. Mammalogy – Adaptation, Diversity, Ecology, de A.George Feldhamer Lee C. Drickamer Stephen H. Vessey Joseph F. Merritt Carey Krajewski – edition Johns Hopkins University Press (4ème édition) – 27 mars 2015[↑]
2. Toxicité digestive et nerveuse de la Pomme de terre – Centre antipoison Animal de l’Ecole Nationale Vétérinaire : https://www.centre-antipoison-animal.com/pomme-terre.html[↑]
3. Le raisin : enregistré au Centre Antipoison Animal, Chapitre “plantes toxiques” : https://www.centre-antipoison-animal.com/raisin.html[↑]
4. L’ail et l’oignon : enregistrés au Centre Antipoison Animal, Chapitre “plantes toxiques” : https://www.centre-antipoison-animal.com/oignon.html[↑]
5. FDA (U.S. Food and Drug Administration) : FDA Investigation into Potential Link between Certain Diets and Canine Dilated Cardiomyopathy / Enquête de la FDA sur le lien possible entre certains régimes et la cardiomyopathie dilatée canine – Mis à jour le 27 juin 2019 : https://www.fda.gov/animal-veterinary/news-events/fda-investigation-potential-link-between-certain-diets-and-canine-dilated-cardiomyopathy[↑]
6. FDA (U.S. Food and Drug Administration) - Questions & Answers: FDA Center for Veterinary Medicine’s Investigation into a Possible Connection Between Diet and Canine Heart Disease - June 27, 2019 : https://www.fda.gov/animal-veterinary/animal-health-literacy/questions-answers-fda-center-veterinary-medicines-investigation-possible-connection-between-diet-and[↑]
7. Tous les rapports de DCM : Dilated Cardiomyopathy in Dogs & Cats : Complaints Submitted to FDA-CVM - January 1, 2014 – April 30, 2019 : https://www.fda.gov/media/128303/download[↑]
8. SIFCO (Syndicat des Industries Françaises des Coproduits Animaux) – Valorisation des sous-produits ou co-produits animaux : https://www.sifco.fr/valorisation#coproduits[↑]
9. RÈGLEMENT (CE) No 1069/2009 DU PARLEMENT EUROPÉEN ET DU CONSEIL – du 21 octobre 2009 – établissant des règles sanitaires applicables aux sous-produits animaux et produits dérivés non destinés à la consommation humaine et abrogeant le règlement (CE) no 1774/2002 (règlement relatif aux sous-produits animaux) : https://eur-lex.europa.eu/LexUriServ/LexUriServ.do?uri=OJ:L:2009:300:0001:0033:FR:PDF[↑]
10. Viandes avariées recyclées aux Etats Unis et en Europe : https://www.amisdelaterre.org/communique-presse/tafta-ttip-la-viande-a-la-javel-s-approche-de-nos-assiettes/[↑]
11. Mentions d’étiquetage sur les aliments pour chiens et chats – Direction générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des fraudes (DGCCRF) : https://www.economie.gouv.fr/dgccrf/mentions-detiquetage-sur-aliments-pour-chiens-et-chats[↑]
12. R. Garnier, J. Poupon, A. Villa – Arsenic et dérivés inorganiques – Centre antipoison et de toxicovigilance de Paris, Hôpital Fernand Widal, France, 31/03/2008 ; [16-002-A-30] – Doi : 10.1016/S1155-1925(08)50377-6 : https://www.em-consulte.com/article/135054/arsenic-et-derives-inorganiques[↑]
13. Squadrone S , Brizio P , Simone G , Benedetto A , Monaco G , Abete MC - “Presence of arsenic in pet food : a real hazard ?” (Présence d'arsenic dans les aliments pour animaux de compagnie : un danger réel ?) - Vet Ital. 29 décembre 2017; 53 (4) : 303-307. doi : 10.12834 / VetIt.530.2538.2. : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/29307124 (Version entière au format PDF : http://www.izs.it/vet_italiana/2017/53_4/VetIt_530_2538_2.pdf)[↑]
14. M. Davies , R. Alborough , L. Jones , C. Davis , C. Williams , et DS Gardner, (2017) : Mineral analysis of complete dog and cat foods in the UK and compliance with European guidelines “Analyse minérale d'aliments complets pour chiens et chats au Royaume-Uni et conformité aux directives européennes.” : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC5719410/#CR5[↑]
15. Faculté de Médecine Vétérinaire de Montréal – Service diagnostic – Urology : https://www.medvet.umontreal.ca/servicediagnostic/materiel_pedagogique/urologie/uro_chimie.html[↑]
16. FRC (Fédéraction Romande des Consommateurs) - Croquettes pour chat : la gamelle qui rend malade : https://www.frc.ch/croquettes-pour-chat-la-gamelle-qui-rend-malade/[↑]
17. Bohlender JM (Klinik für Innere Medizin III, Universitätsklinik Jena, Erlanger Allee 101, Jena, Germany), Franke S, Stein G, Wolf G : Advanced glycation end products and the kidney - Am J Physiol Renal Physiol. 2005 Oct;289(4):F645-59 : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/16159899[↑]